Madame Lavergne a bien voulu se prêter au jeu. Elle nous a transmis des mimologismes : lu reibeneit (le troglodyte), lu rossinhòl, et des dires et des comptines : lu Marmilhon (le nourrisson), lu greu e la cròta de lop... (le grillon et la crotte du loup) avec beaucoup d'aisance et de gentillesse.
Il eut ainsi l’occasion d’interroger et enregistrer à plusieurs reprises une voisine à lui, Angèle Chabeaudie, qui devint rapidement une vedette de son émission. Sa gentillesse, son humour et son remarquable répertoire de chansons ont ravi les oreilles des auditeurs et de nombreux Saint-Juniauds gardent encore en mémoire cette personnalité chaleureuse.
Cette femme, née au village de Montazeau (commune de Rochechouart) et qui vécut après son mariage au village de "Chez Sadry", sur la commune de Chaillac-sur-Vienne, a livré ainsi au micro durant les dernières années de sa vie de nombreuses chansons anciennes (profanes ou sacrés, en occitan et en français), dont certaines inconnues, et des témoignages étonnants (en occitan) sur les traditions populaires de sa région: cuisine, travaux des champs, dévotions…
► Accéder à la galerie de photos (qui nous ont été aimablement confiées par son arrière petite fille, Sylvie Bellamy-Roques .
► Accéder à la fiche écrite par R. Dagnas pour la bande 567
Ces bandes ont été sauvées de l’oubli par Françoise Etay, professeur responsable du département de musique traditionnelle au CRR de Limoges où ces enregistrements sont aujourd’hui déposés.
]]>Président du groupe folklorique « Los velhadors de Sent-Junian », Robert Dagnas a parcouru durant les années 1950-1960 les routes du Limousin, armé de son magnétophone, à la recherche de chanteurs, conteurs et musiciens du pays. Il animait, grâce à ces enregistrements, une émission hebdomadaire à « Radio Limoges ».
Il eut ainsi l’occasion d’interroger et enregistrer à plusieurs reprises, une voisine à lui, Angèle Chabeaudie, qui devint rapidement une vedette de son émission. Sa gentillesse, son humour et son remarquable répertoire de chansons ont ravi les oreilles des auditeurs et de nombreux Saint-Juniauds gardent encore en mémoire cette personnalité chaleureuse.
Cette femme, née au village de Montazeau (commune de Rochechouart) et qui vécut après son mariage au village de "Chez Sadry" sur la commune de Chaillac-sur-Vienne, a livré ainsi au micro durant les dernières années de sa vie de nombreuses chansons anciennes (profanes ou sacrés, en occitan et en français), dont certaines inconnues, et des témoignages étonnants (en occitan) sur les traditions populaires de sa région : cuisine, travaux des champs, dévotions…
► Accéder à la galerie de photos (qui nous ont été aimablement confiées par son arrière petite fille, Sylvie Bellamy-Roques .
Ces bandes ont été sauvées de l’oubli par Françoise Etay, professeur responsable du département de musique traditionnelle au CRR de Limoges où ces enregistrements sont aujourd’hui déposés.
]]>Au-delà de cette évidence, il en vient une autre, parmi les plus beaux paniers d'éclisses de châtaignier faits en Limousin, ceux de Maurice Javelaud tenaient bonne place. Par centaines, paniers e deschas (panières) sont nés de l'alliance de ses doigts et du couteau.
D'un savoir-faire acquis auprès de son père durant ses jeunes années il développa une véritable activité vannière une fois à la retraite.
Qui, dans ce petit coin du Limousin, ne l'a pas rencontré derrière son banc de paniers dans toutes les fêtes artisanales du pays ?
C'est dans son village de Bournazeau (commune d'Oradour-sur-Vayres) où il a toujours vécu que nous avons rencontré Maurice au printemps 2009. Au cours de deux après-midi, nous avons suivi les étapes de fabrication d'un panier dans l'obscurité de la vieille maison qui lui servait d'atelier.
Les explications sont souvent succinctes, parfois sibyllines "Qu'es mas mesuras a me !"... Il reste à voir, à observer, à décrypter un geste, des réflexions, des attitudes, tant de choses héritées de siècles de savoir paysan en matière de vannerie traditionnelle.
]]>M. Dagnas présente Marie Basset qu'il a enregistrée au cours de l'hiver 1964 à Neuville, commune de Saint-Mathieu (Haute Vienne).
Mme Basset interprête plusieurs chansons peu connues, elle nous parle des danses, des musiciens, des bals, des galants...
L'émission est entrecoupée de morceaux joués par des groupes folkloriques : "La Couade de Troche" (la bourrée d'Auvergne, suites de bourrées...) et "le rondeau bordelais" (le cap d'ail).
Pour finir on entendra aussi deux annonces : une pour le congrès de la fédération de groupes folkloriques du Centre-ouest à St-Junien et une concernant le comité d'organisation de la Sainte Estelle de 1965.
► Accéder à la fiche écrite par R. Dagnas pour cet enregistrement
Président du groupe folklorique « Los velhadors de Sent-Junian », Robert Dagnas a parcouru durant les années 1950-1960 les routes du Limousin, armé de son magnétophone, à la recherche de chanteurs, conteurs et musiciens du pays. Il animait, grâce à ces enregistrements, une émission hebdomadaire à « Radio Limoges ».
Ces bandes nous ont été confiées pour numérisation et diffusion par Françoise Étay, professeur responsable du département de musique traditionnelle au CRR de Limoges.
Elles ont été restaurées et numérisées par Fabrice San Juan.
Promenant son micro dans les bourgs limousins, Robert Dagnas a enregistré les documents présentés ici à Javerdat commune de Haute-Vienne.
Dans cette émission nous entendrons une présentation de Javerdat, plusieurs "vieux airs du pays enregistrés sans apprêt" (dont quelques rares chansons interprêtées par Pierre Biossac), des témoignages sur les ostensions, sur Jérôme et Jean Tharaud par sa sòr de lach (enregistré à La Pouyade auprès de Mariette Perrier née Sénamaud)...
Le petit-fils de Mme Perrier nous indique : " ... j'étais d'ailleurs présent ce jour là, je me souviens très bien malgré mes 4 ans 1/2 de la grosse voiture de la Radio garée aux bas des marches de la maison, une énorme "Frégate" (verte!) bourrée d'instruments, je me souviens du fil du micro qui courait sur les marches de granit, ... et ma grand mère, qui répondait par de courtes phrases, très naturelle, en français, je me souviens même que l'interviewer avait insisté pour qu'elle parle en patois, car elle voulait montrer qu'elle parlait bien le francais,....son éternel bonnet de laine tricoté vissé sur sa tête .... j'avais été écarté de la scène car j'étais trop bruyant au goût du technicien,.... que de souvenirs lointains ..."
Président du groupe folklorique « Los velhadors de Sent-Junian », Robert Dagnas a parcouru durant les années 1950-1960 les routes du Limousin, armé de son magnétophone, à la recherche de chanteurs, conteurs et musiciens du pays. Il animait, grâce à ces enregistrements, une émission hebdomadaire à « Radio Limoges ».
Ces bandes nous ont été confiées pour numérisation et diffusion par Françoise Étay, professeur responsable du département de musique traditionnelle au CRR de Limoges.
Elles ont été restaurées et numérisées par Fabrice San Juan.
Il s'agit sans doute de l'enregistrement, à l'église Saint-Auvent (Haute-Vienne) d'une répétition dans lequel le prêtre (probablement le chanoine Durepaire) bute et peste contre ses ratés, on entend R. Dagnas lui dire qu'il n'y a pas de souci que ces hésitations seront coupées au montage.
Pas d'indication sur la date sur cet enregistrement probablement en 1959.
La fin de ce sermon se trouve sur la bande suivante n°8551-6.
Président du groupe folklorique « Los velhadors de Sent-Junian », Robert Dagnas a parcouru durant les années 1950-1960 les routes du Limousin, armé de son magnétophone, à la recherche de chanteurs, conteurs et musiciens du pays. Il animait, grâce à ces enregistrements, une émission hebdomadaire à « Radio Limoges ».
Ces bandes nous ont été confiées pour numérisation et diffusion par Françoise Étay, professeur responsable du département de musique traditionnelle au CRR de Limoges.
Elles ont été restaurées et numérisées par Fabrice San Juan.
Dans cet enregistrement - réalisé à priori en 1968 sur la commune de Cussac (87) - nous entendrons un petit groupe de personnes (dont M. Ratinaud, M. Michaud, M. Dupuy, Mme Blancher, M. Verdaud...) nous parler des soins (le charbon, tirer les saints...), des bonnes fontaines et des dévotions de la St Jean (les marchands, le bal, la balade...). Ensuite M. Michaud chante "los dindons", puis nous entendrons l'istòira de Marçaud, sauta troia, un retour sur l'origine des bonnes fontaines et pour terminer quelques mots des danses pratiquées au bal des bonnes fontaines.
Président du groupe folklorique « Los velhadors de Sent-Junian », Robert Dagnas a parcouru durant les années 1950-1960 les routes du Limousin, armé de son magnétophone, à la recherche de chanteurs, conteurs et musiciens du pays. Il animait, grâce à ces enregistrements, une émission hebdomadaire à « Radio Limoges ».
Ces bandes nous ont été confiées pour numérisation et diffusion par Françoise Étay, professeur responsable du département de musique traditionnelle au CRR de Limoges.
Elles ont été restaurées et numérisées par Fabrice San Juan.
Enregistré à l'occasion de l'assemblée générale de cette association qui vient de se tenir à St Junien, M. Bonnaud parle de la fédération, des groupes folkloriques de la région, du travail de recherche, de la prolifération des groupes folkloriques, des différentes formes de folklore...
Dans la seconde partie des groupes folkloriques (Rondeau Bordelais, Aunis et Saintonge, La Bourrée Limousine, l'École du barbichet, les Velhadors de St-Junian) interprètent "les vieux airs qui font revivre avec tant d'amour".
NB : En fin de bande nous retrouvons la fin de l'émission "Chez nous" consacrée à Mme Basset diffusée en mars 1965, elle aussi sur la Biaça :
Chez nous mars 1965 ►
M. Bonnaud, folkloriste érudit, membre de la Société Archéologique et Historique du Limousin, a publié de nombreuses études concernant l'ethnomusicologie, l'ethnographie, l'art populaire ...
Président du groupe folklorique « Los velhadors de Sent Junian », Robert Dagnas a parcouru durant les années 1950-1960 les routes du Limousin, armé de son magnétophone, à la recherche de chanteurs, conteurs et musiciens du pays. Il animait, grâce à ces enregistrements, une émission hebdomadaire à « Radio Limoges ».
Ces bandes nous ont été confiées pour numérisation et diffusion par Françoise Étay, professeur responsable du département de musique traditionnelle au CRR de Limoges.
Elles ont été restaurées et numérisées par Fabrice San Juan.
Dans cet entretien en occitan, Mme Bordier nous parle de la pratique de la langue, de la vie de la commune dans les années 1940 et 1950 (les battages, les châtaignes, le cidre...), avant qu'elle ne parte vivre à Angoulême avec son époux.
Elle revient aussi longuement sur un douloureux et peu connu épisode de l'histoire locale, lorsqu'en août 1944, quelques semaines après le massacre d'Oradour-sur-Glane, une division nazie investit le bourg de Blond, le pilla, et fusilla plusieurs de ses habitants.
Son mari Claude Bordier intervient de temps en temps durant l'entretien.
]]>Plusieurs séquences de natures différentes se suivent : Des chansons en occitan et en français : "Je viens te dire adieu, charmante Rosalie", "Chançoneta", "Julie, ma Julie, je viens te dire adieu", "La Mion", "Chas nos m'an mardidada", "Ah ! Voui i!", "Vau vos contar 'na chançoneta", présentation de la commune des Salles-Lavauguyon puis un beau témoignage de Mme Villotte sur les bonnes fontaines.
Accéder à la fiche écrite par R. Dagnas pour cet enregistrement.
]]>Monsieur Georges Rayrat est né en 1935 à Blond où il est aujourd'hui retraité.
Il nous parle de sa carrière de douanier à Tourcoing puis à Poitiers, nous livre des anecdotes croustillantes sur son métier et sur son militantisme syndical, nous parle aussi de son grand attachement à la langue occitane limousine qu'il n'a jamais cessé de parler quotidiennement avec sa femme, même lorsqu'ils vivaient dans le Nord et en Poitou.
]]>Sur ce document, nous pouvons entendre de rares et belles versions bien complètes de quelques contes pourtant connus : Tom Pouce, Las tres filhas, Jan bestia et Peu d'Asnisson.
Ces cassettes nous ont été confiées par J.M. Siméonin, collecteur et militant de longue date, pour numérisation et mise en ligne, elles ont été numérisées et traitées par Fabrice San Juan.
Dans cet enregistrement en public, des chansons : "Alai alai", "Chas nos m'an maridats", "Per descendre" une belle chanson énumérative, "la gerba-bauda".
Puis deux magnifiques prières (lo piti petar - pater - dau bon diu, l'erbadis - verba dei -) , quelques nhorles (des aventures de La Françoise et de Jan Picatau) et des pièces du répertoire (pas très originales mais avec quelques arrangements intéressants) jouées par une petite formation autour d'un clarinettiste.
Aucun élément à ce jour ne nous permet d'identifier les locuteurs.
Président du groupe folklorique « Los velhadors de Sent Junian », Robert Dagnas a parcouru durant les années 1950-1960 les routes du Limousin, armé de son magnétophone, à la recherche de chanteurs, conteurs et musiciens du pays. Il animait, grâce à ces enregistrements, une émission hebdomadaire à « Radio Limoges ».
Ces bandes nous ont été confiées pour numérisation et diffusion par Françoise Étay, professeur responsable du département de musique traditionnelle au CRR de Limoges.
Elles ont été restaurées et numérisées par Fabrice San Juan.
Après un chant religieux à St Sébastien*, quelques chansons "Entendez vous sous la ramure", "Hola hola", "La pranliran", "la chanson de la mariée", et plusieurs intéressants témoignages sur la forêt de Rancon, le culte à Saint Sébastien*, la "boira-pilat" à Châteauponsac (par Germaine Baritaud ?), l'émigration des maçons.
Pour clore cet enregistrement le curé de Châteauponsac évoque les "résultats de la boira-pilat".
* Si le culte à St Sébastien a évolué depuis une bonne dizaine d'années et la fin de la conscrition, la procession perdure et ce chant est toujours pratiqué vers le 20 janvier (Information du Musée de Châteauponsac).
]]>Sur cette cassette audio, un nouvel enregistrement de Mme Massy sur la commune de Ladignac-le-Long en Haute-Vienne, mais aussi plusieurs autres locuteurs non identifiés.
Nous pouvons entendre, dans une belle langue, quelques contes bien répandus sur le territoire : Jan lo bestia, 14 ans... et une nhorle : lo boc. Plusieurs interprètes se succèdent interprétant une chanson grivoise : "En revenant du bois", puis "lo pelhaire", "Nanette", "Rossignolet du bois", une chanson sur une petite bretonne pas si naïve : "Pour le métier de bonne"
Pour finir, quelques traditions pour le jeudi saint interrompues par la fin de la bande.
Ces cassettes nous ont été confiées par J.M. Siméonin, collecteur et militant de longue date, pour numérisation et mise en ligne.
Elles ont été numérisées et traitées par Fabrice San Juan.
- Le second document, une émission de "Chez Nous" de Juin 1958, évoque la légende de St Eloi à Chaptelat puis on retrouve M. Dagnas, I. Besson et les Veilladours
- Dans le dernier enregistrement une autre émission datant de Juillet 1958 des évocations nostalgiques, dans laquelle on entend I. Besson, les Veilladours et "Pierrilhon" (qui nous enseigne des dictons sur le mois de Juillet et donne des "conseils" aux jeunes filles), l'émission se termine par les chroniques d'actualités des groupes folkloriques.
Le fonds Robert Dagnas
Dans cet entretien qu'il a accordé le 27 septembre 2006 à Jean-Christophe Dourdet, en compagnie de Jean-Pierre Cavaillé et Baptiste Chrétien, il nous parle entre autres du quartier des Ponts et de ses habitants, les Ponticauds, qu'il a bien connus avant-guerre et jusqu'aux années 1960, avant la métamorphose de ce très ancien et singulier quartier de Limoges.
Il nous parle aussi de quelques figures limougeaudes, des restaurants et des fêtes qui animaient les bords de Vienne et de Briance.
Maréchal-ferrant puis serrurier, André Ducher s'est investi dans nombres d'organisations et associations durant sa retraite. Il fut notamment chanteur et accordéoniste dans le groupe folklorique limougeaud l'Eglantino do Lemouzi.
André Ducher est décédé en septembre 2012.
La partie de l'entretien qui est présentée ici est en occitan, dans le parler de Limoges et de sa proche banlieue, parler qu'il est aujourd'hui bien rare d'entendre.
André Ducher nous chante pour finir deux chansons ponticaudes, en français, d'abord La Valse à Bousta (Gervais/Hyvernaud), composée avant-guerre en l'honneur d'André Poutou dit Bousta, fondateur de l'association nautique des Marins du Clos, puis Mon Clos Sainte-Marie (Desnoyers), chanson plus récente en l'honneur du quartier des Ponts rive gauche.
Transcription et traduction de l'entretien ici : http://jcavaille.free.fr/Ducher.htm
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Après avoir entendu les cloches de Saint Laurent sur Gorre, la présentation de la messe de Noël, des chants par la chorale des Velhadors dirigée par Piere Leplant, plusieurs chants de Noël plus ou moins connus, un serment en limousin par le chanoine Gourrier, une belle prière aux " travailleurs et aux feignants "....
Président du groupe folklorique « Los velhadors de Sent Junian », Robert Dagnas a parcouru durant les années 1950-1960 les routes du Limousin, armé de son magnétophone, à la recherche de chanteurs, conteurs et musiciens du pays. Il animait, grâce à ces enregistrements, une émission hebdomadaire à « Radio Limoges ».
Ces bandes nous ont été confiées pour numérisation et diffusion par Françoise Etay, professeur responsable du département de musique traditionnelle au CRR de Limoges .
Elles ont été restaurées et numérisées par Fabrice San Juan.
Une autre version de la "messe de minuit des bergers limousins".
Une étonnante traduction d' "il est né le divin enfant", un évangile "dans la langue du pays" au cours duquel sont évoqués Georges Brassens et Enrico Macias, un sermon par le père Giry, un chant de Noêl par Angèle Chabeaudie, quelques chansons de Noêl par la chorale des Velhadors ...
Président du groupe folklorique « Los velhadors de Sent Junian », Robert Dagnas a parcouru durant les années 1950-1960 les routes du Limousin, armé de son magnétophone, à la recherche de chanteurs, conteurs et musiciens du pays. Il animait, grâce à ces enregistrements, une émission hebdomadaire à « Radio Limoges ».
Ces bandes nous ont été confiées pour numérisation et diffusion par Françoise Etay, professeur responsable du département de musique traditionnelle au CRR de Limoges .
Elles ont été restaurées et numérisées par Fabrice San Juan.
Une autre version du mémento des vivants déjà entendu à la messe de minuit de St Laurent sur Gorre, une nouvelle série de chants de Noël par la chorale des Velhadors ...
Accéder à la première partie .
Président du groupe folklorique « Los velhadors de Sent Junian », Robert Dagnas a parcouru durant les années 1950-1960 les routes du Limousin, armé de son magnétophone, à la recherche de chanteurs, conteurs et musiciens du pays. Il animait, grâce à ces enregistrements, une émission hebdomadaire à « Radio Limoges ».
Ces bandes nous ont été confiées pour numérisation et diffusion par Françoise Etay, professeur responsable du département de musique traditionnelle au CRR de Limoges .
Elles ont été restaurées et numérisées par Fabrice San Juan.
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Mr Gervais tient de ses parents et de ses grands-parents de nombreux contes et légendes autour de Ceinturat et de ses mégalithes, à l'époque où le village s'appelait la ville de Lupet et où il était gouverné par le roi Gros-Nez.
Il nous livre ici quelques extraits de ces histoires, certaines reprenant des trames narratives bien connues dans tout le Haut-Limousin, (voir les similitudes entre "lo pair Bujada e sa 'belhas" et "la 'belha" par M Chastanet) puis une historiette fantaisiste (L'âne dans l'écurie) ainsi qu'une gnorle quelque peu grivoise, l'histoire de l'eime (raison, bon-sens en occitan limousin) de la bonne du curé (une autre version dans l'enregistrement de Mme Massy 3 à 9mn 11sec ) .
Pour finir, Mr Gervais nous raconte comment, à l'âge de trois ans, il fut sauvé de la poliomyélite par une vieille guérisseuse de Ceinturat, la mère Aupetit dite Cambujier, qui tenta de transmettre son don à deux personnes qui se suicidèrent toutes les deux, et qui finalement emporta son secret avec elle dans la tombe...
Ce document nous a été confié par Baptiste Chrétien, qui en a assuré la description et le séquencement .
]]>A l'occasion de la St Estelle 1965, R. Dagnas a interviewé le capoulié Elie Bachas, dans cette émission, il évoque avec lui son rôle de capoulié, la Sainte Estelle, le rôle du limousin dans le félibrige, la coupo santo ...
Dans cette même émission, Félicie Brouillet évoque la légende de Ste Estèphe et Angèle Chabeaudie chante "lo chamin de fer"
Quelques airs et chansons par les Tiaulins de Lignières : Chibreli-chibrela, Voilà six mois quand c'était le printemps....
M. Elie (Elio) Bachas, né en 1903, écrivain occitan fut Capoulié du félibrige de 1962 à 1971
Président du groupe folklorique « Los velhadors de Sent Junian », Robert Dagnas a parcouru durant les années 1950-1960 les routes du Limousin, armé de son magnétophone, à la recherche de chanteurs, conteurs et musiciens du pays. Il animait, grâce à ces enregistrements, une émission hebdomadaire à « Radio Limoges ».
Ces bandes nous ont été confiées pour numérisation et diffusion par Françoise Etay, professeur responsable du département de musique traditionnelle au CRR de Limoges .
Elles ont été restaurées et numérisées par Fabrice San Juan.
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Président du groupe folklorique « Los velhadors de Sent Junian », Robert Dagnas a parcouru durant les années 1950-1960 les routes du Limousin, armé de son magnétophone, à la recherche de chanteurs, conteurs et musiciens du pays. Il animait, grâce à ces enregistrements, une émission hebdomadaire à « Radio Limoges ».
Ces bandes nous ont été confiées pour numérisation et diffusion par Françoise Etay, professeur responsable du département de musique traditionnelle au CRR de Limoges .
Elles ont été restaurées et numérisées par Fabrice San Juan.
Baptiste Chrétien nous informe qu'il s'agit de Madame Lisa Ducouret , née aux environs de 1910 au village de La Peyrière qui chante : "Senta Catarina" puis "Chiffonnette" .
Ensuite nous reconnaissons Pierre Biossac du village de Laplaud : Chas Bujada, Entre Versailles et St Denis, Vira vira charamelaïre, Dins la nauta montanha, Sus lo pont de Lion, Daus nòus conuelhs, Nòstra nòvia et Maridatz me Jan.
Le fonds Robert Dagnas
Ces bandes nous ont été confiées pour numérisation et diffusion par Françoise Etay, professeur responsable du département de musique traditionnelle au CRR de Limoges .
Elles ont été restaurées et numérisées par Fabrice San Juan.
Mr Savi précise que son nom est ainsi orthographié à cause d'une erreur d'un employé de mairie, Son grand-père et son père l'orthographiaient Savy, qui est un patronyme très courant en Limousin.
Dans ce petit entretien improvisé, il évoque pour nous les grands travaux (fenaison, moisson, battage...) et tout ce qui s'y rattache: le liage des bœufs, les repas, la mécanisation etc.
Il nous parle également de son métier d'employé communal.
Réputé dans toute la commune pour ses talents de chanteur et de siffleur, Mr Savi nous interprète de courtes versions de trois chansons bien connues en Limousin : Lo Turlututu, La Gerba bauda, Las quatre sasons.
Enfin, Mr Savi nous parle de la Mandragore, cette bête féroce qui terrorisa longtemps le nord-ouest limousin et dont on dit qu'elle possédait une queue de serpent, un corps de lion et une tête d'homme.
Remerciements à Baptiste Chrétien qui a réalisé l'enquête, son séquencement et la notice
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